Tout d’abord petit retour sur cette seconde édition des journées au Studio de la Friche au micro de Radio Grenouille.
Madeleine Chiche nous a présenté des images de New York comme point de départ personnel de “retour à la nature”… Lire en ligne p. 12
∞ Madeleine Chiche, un alter-ego fantasmé
Colas Bailleul , artiste, a donné un témoignage d’appropriation de la nature en ville par son action avec Sophie Barbaux, paysagiste et les rudologistes associés. Lire en ligne p. 24
Après avoir compris les enjeux autour de la densification ou non du pavillonnaire, suite à la loi ALUR et l’exposé de Stéphane Hanrot, un témoignage d’une réflexion plus globale, la seule loi ALUR ne suffisant pas à garantir une densification intelligente du péri-urbain: La Communauté Urbaine de Bordeaux a des territoires pilotes autour d’un certain équilibre, évoqué par Françoise Guyon (passeur de jardin), lors de la journée.
∞ Stéphane Hanrot, la loi ALUR
∞ …et ses limites
∞ Bruno Jourdan, les périurbains qui ont fuit la Ville
∞ Guillaume Morlans, paysagiste, Le jardin d’Hospitalité à l’Hôpital Salvator
∞ Thierry Tatoni, la Nature s’en sort toujours
∞ Florent Chiaperro, la propriété
∞ Thierry Tatoni, la Nature se décide en Ville
∞ Zoé Hagel, une pensée moderniste
∞ Jean-Noël Consalès,
dépasser “bonne”
et “mauvaise” nature
∞ Thierry Tatoni, l’anthropocène
∞ Florent Chiappero (ETC), architecture et nature
∞ Jean-Noël Consalès, de la pluridisciplinarité à la transdisciplinarité
∞ Florent Chiappero, “c’est tout”
∞ Bruno Jourdan, terrain vague
∞ Audrey Marco, un inventaire des friches
∞ Marie Baduel, les pentes habitées
∞ Samuel Bordreuil, un continuum
∞ Florent Chiappero, pouvoir de penser qu’il possible d’agir…
∞ Samuel Bordreuil, sociologue