Le contexte de cette 2ème journée est celle de la loi ALUR par laquelle l’Etat promeut une densification “douce” qui voudrait préserver la structure existante des tissus urbains concernés, mais peut-on croire que la densification ne réduira pas les espaces libres où la nature se réinvente? Comment la relation ville-nature peut-elle se négocier au profit d’une intelligence écologique de la densité, dans les centres urbains comme dans les lieux en mutation?
En introduction à la journée:
– Madeleine Chiche, artiste (“Retour à la Nature”, une expérience intime et artistique)
– Stéphane Hanrot, architecte (La loi ALUR: Densifier le périurbain à l’échelle de la métropole)
Pour une relation ville-nature à travers des actes d’appropriation et des pratiques habitantes
– Colas Baillieul, artiste (Le joyeux jardin/St Loup à Marseille, les rudologistes associés)
– Guillaume Morlans, paysagiste (Le jardin d’Hospitalité à l’Hôpital Salvator de Marseille)
– Thierry Tatoni, écologue (le point de vue de l’écologue sur les jardins privés et la nature en ville)
…et témoignages
– Alexis Jan, (présentation de l’AMIEU)
– Rémy Spehner (association les jardins familiaux du Castellas)
– Vesna Truchetet, urbaniste (un petit jardin à Nouveau Belgrade)
– Vincent Confortini, paysagiste (le jardin de l’hôpital Ste Marguerite)
Le Tiers foncier, les parcelles “en attente”, les lieux en mutation
– Marion Serre, architecte/doctorante (Le tiers foncier)
– Vincent Hannoun (Yes we camp)
– Florent Chiaperro (Collectif ETC)
– Pierre Olivier Mattei, chercheur (les ambiances sonores urbaines: la complexité comme gage de qualité)
Le Frioul, terrain d’expérimentation
– Arnaud Sibilat et Aline Burle, étudiants architectes (workshop de l’ENSAM)
– David Farge, Sue-Shuey-Shyen Duong, Nicolas Pouchard, architecte, urbaniste, écologue, collectif SYNAPSE (Une bactérie, un papillon, un homme)
Les actes des trois premières éditions des journées sont téléchargeables ici .